Pas pour moi [PV:Juliet Frost]

«Pas pour moi»

Eodia et Juliet Frost

Aujourd’hui,c’est le début d'une semaine, charger pour moi. Les jours chauds commençaient a disparaitre, et les gens sortais de moins en moins. Je voulais sortir un peu. Sortir seule, comme à mon habitude. J’avais avec moi un panier et un vêtement léger qui m'arrivait juste au niveau des genoux. (se qui est habituelle cher elle)

J’avais envie d’aller me promener dans la foret pour aller chercher quelque bricole.
Une sorcière avec un panier à la main et une cape a l‘ancien, vous ne trouvez pas sa bizarre ? Si un peu. Je connaissais ces forets depuis 1000 et des brouettes.

Perdue dans mes pensées je ne regardais même pas les gens me faisaient des sourires, mais je les ressentais, ils avaient l’air bizarre comme s'ils avaient jamais vu une jeune fille avec les cheveux presque blanc. Les jeunes garçons me sifflaient, mais franchement j’en n’avais rien à foutre d’eux, ils pouvaient mourir sur place je serais bien contente. Oui c’est vrai que je suis un peu méchante de ce côté-là, mais ce n’est pas de ma faute.

Arriver dans la foret les arbres était calme, sens bruit, presque inquiétant, je regardais les alentours quand j’entendis un hibou me chuchoter que quelqu’un était là.

-il...il y a quelqu'un?

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Pas pour moi...
Feat Eodia Arda

Nous étions lundi, premier jour d'une longue semaine pareille à toutes les autres. Je passais mes journées blottie dans une grotte empreintėe à un ours, à l'abri du soleil, fermant de temps en temps les yeux mais ne dormant jamais vraiment. La nuit commençais à tomber et mon ventre ne cessait de gronder depuis plusieurs heures. Toujours dans l'ombre, je me levais enfin: l'heure de la chasse était arrivée.
Sans bouger, j'humais l'air à la recherche de l'odeur: celle d'une jeune droguée. Cela faisait deux semaines que je l'observais en cachette. Personne ne la connaissait vraiment et elle n'avait plus de famille. Je n'aimais pas le penser mais je la sauvait en quelques sortes de son existence pitoyable.
Je ne mis pas longtemps à la repérer. Elle traînait le long de la forêt: une chance. Doucement, je laissais mes cannines sortir avec délectation, puis rapidement je m'élançais sur les traces de ma proie. En deux petites secondes je fus face à elle, la rue nous séparait mais je pouvais aisément voir les veines de son cou palpiter. Mon ventre gargouilla fortement puis sans pouvoir me contrôler, la faim me tiraillait avec violence, des veines rouges sang presque marrons se formèrent autour de mes yeux. Seulement, aveuglé par la soif, je n'avais pas remarqué les autres passants qui avaient tous le regard fixé sur moi.
Je me précipitais vers la jeune femme qui hurla en me voyant de plus près, elle se débattit et s'enfuit quand je l'attrapa par le bras, l'attirant vers moi.
Mes canines s'enfoncėrent comme dans du beurre, dans la veine palpitante de son adorable cou. Mais avant que je n'ai pu commencer à me nourrir, elle sortit un pistolet qu'elle actionna après l'avoir rapidement coller entre mes côtes. Le coup de feu fut très douloureux mais pas mortel. Malheureusement lorsque je repris mes esprits, la jeune fille avait disparu. Je me remis à l'abri dans la forêt, boitillant, un énorme trou dans le ventre. En plus de cela, la faim me tordait toujours l'estomac, il fallait que je me nourrice et vite sinon la plaie n'allait pas se refermer facilement.
Je longeais l'orée du bois quand j'aperçu au loin une silhouette. Une jeune fille aux cheveux étonnamment blancs. Je n'avais pas le loisir de me renseigner sur elle ni de m'attarder sur son apparence. Je lui fis face et:
-il...il y a quelqu'un?
Je ne lui répondit pas avançant mollement vers elle je n'avais plus assez d'énergie même pas pour tenir debout. Je m'écroulais à ses pieds.

Petite poupée, qui est maintenant allonger. Comment revenir à se qui c'est passé. Perdu dans un tourbillon de noir, au du du couloir tu ne voix même pas l'espoir. Allonger dans l'herbe humide... Ta peau avait l'aire plus froide que d'habitude. Tu as du faire du chemin pour te retrouver la allongée comme une poupée.
Tes yeux fermé, on pouvais penser que tu était morte. Tu respirait. Mais pas complètement. Tu ne doutais plus de rien. On pouvais te faire se que l'on voulais. Toi tu ne sentirais rien. Comment te réveille. Je veux que ouvre les yeux.

alors pour sa il me faut mes pouvoir magique. J'avais pris soin de te mettre sur de la mousse. Pour que se soit confortable.et je prononcé un sort pour que tu te réveille avec joie et force. Mais je ne c'est pas si un vampire et si gentille que sa. Alors je prend mes précaution. On ne c'est jamais. Tu pourrais me soyer déçut. Et me mordre. Pourtant je n'avais pas peur.

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